"Brûlez de vieux bois, buvez de vieux vins, lisez de vieux livres, ayez de vieux amis."
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"Je suis pour les titres longs. Si à la recherche du temps perdu s'était appelé simplement Albertine, ce serait moins bon."
(Michel Audiard)
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Commentaires
Anonyme a dit…
J'aimais énormément Audiard... il a laissé un patrimoine linguistique époustouflant, dialogues entrés dans le langage courant notamment grâce aux tontons flingueurs.
Anonyme a dit…
Je suis assez d'accord ^___^ (il s'en fiche certainement mais tant pis^). Et puis la magie de Proust, tous ces noms...ah ça ne s'explique pas!
Anonyme a dit…
Sacré Audiard, j'adore son franc parlé !! Bon dimanche Pascal !
Anonyme a dit…
de qui est le "portrait de Marcel Proust aux madeleines" ? (je lui ai donné un titre long en hommage à Audiard) j'aime bien cette aquarelle
Hélas! Larkéo je ne peux pas t'apporter de réponse. Trouvée sur le net il y a plusieurs mois j'ai oublié de noter qui en était l'auteur, si toutefois il était mentionné. Désolé.
"L'art de la joie" Goliarda Sapienza. Roman. Editions Viviane Hamy, 2005. Traduit de l'italien par Nathalie Castagné. Elle s'appelle Modesta et elle est née le 1er Janvier 1900 quelque part dans la campagne sicilienne. Elle grandit dans la misère, entre une mère taciturne et une sœur, Tina, handicapée mentale. Son seul univers, c'est une bicoque sombre, envahie de nuées de mouches. Un jour, alors qu'elle n'est encore qu'une enfant, un homme qui prétend être son père se présente. Il enferme la mère et la sœur de Modesta dans le cabanon qui sert de toilettes, et viole la petite fille. Le lendemain, on retrouvera la mère et la sœur massacrées à coups de couteau. Modesta sera recueillie par des religieuses et va grandir au sein d'un couvent dirigé par une abbesse férue d'astronomie, mère Leonora. Les années vont passer dans le calme de cet univers clos et Modesta , qui auparavant ne savait ni lire ni écrire, va découvrir la bibliothèque. Une bo
On peut bien bouffer de l'huile de bagnole ! Rappelons brièvement les faits : La société Saipol , propriétaire de la marque Lesieur , et grossiste en huile, a acheté à vil prix un lot de 40 000 tonnes d'huile de tournesol ukrainienne. Exerçant son métier, cette société a revendu avec profit cette huile à d'autres multinationales de l'agroalimentaire. Un contrôle a posteriori a mis en évidence la présence frauduleuse, dans ce lot, d'huile minérale destinée à la lubrification des moteurs. Même s'il n'est pas établi que ce mélange peu ragoûtant soit méchamment toxique, eussions nous eu affaire à des gens responsables que ce lot eût immédiatement rejoint la seule destination qui lui seyait : la poubelle. Que croyez-vous qu'il arriva ? Ces empoisonneurs dont l'avidité autant que la veulerie sont sans limite, ont néanmoins décidé d'utiliser sciemment cette huile pour composer leurs produits de merde. Le pire, c'est qu'ils ont eu l'accord de
"Le jour où Albert Einstein s'est échappé" Joseph Bialot. Roman. Editions Métailié, 2008. Il devait rester un mois. Finalement, cela fait trois ans qu'il est ici. Ici, c'est une maison de retraite au nom improbable : Les Cannabis . Lui, c'est Sébastien Lesquettes, mais ici tout le monde le surnomme Einstein. « Ce crétin de surveillant m'appelle Einstein. Un jour j'ai fait la bourde de lui dire que j'avais fait une découverte nouvelle et capitale en physique, un nouveau rapport « Temps/Masse », que, curieusement, plus je vieillissais et plus les objets devenaient lourds à soulever. Dans un éclair de lucidité, entre deux espaces encore vierges de sauvignon, il s'est souvenu du grand Albert et m'a affublé de son nom, repris depuis par tout le personnel de mon auberge de vieillesse. » Sébastien Lesquettes/Einstein n'est pas arrivé ici de par sa propre volonté. Ce séjour prolongé dans cette maison de retraite, il le doit à ses trois enfant
Commentaires
Bon dimanche Pascal !
j'aime bien cette aquarelle
Désolé.