En ce moment je lis: "La Maison des Feuilles" de Mark Z. Danielewski
En rentrant chez eux un soir, les Navidson – Will, Karen et leurs deux enfants qui viennent à peine d’emménager en Virginie – découvrent qu’une nouvelle pièce a surgi dans leur maison… comme si elle avait toujours été là. Simple inattention ? Canular élaboré ? Mètres, plans et appareils de mesure sont réquisitionnés, et soudain l’explication la plus étrange devient la plus évidente : le foyer des Navidson est plus grand à l’intérieur qu’à l’extérieur. Très vite, d’autres changements surviennent ; un mur se décale, une nouvelle porte apparaît dans le salon et derrière elle un couloir étroit et obscur. Photoreporter de renom et aventurier intrépide, Will s’y risque un soir mais, manquant de se perdre dans ce qui s’avère être un dédale immense, décide de mettre sur pied une équipe d’explorateurs chevronnés, afin d’étudier ce passage qui paraît sans fin et qui, très vite, se révèle l’être pour de bon. Plongée dans le labyrinthe d’une maison impossible, ce roman tout en méandres cache un minotaure : au cœur de l’obscurité abyssale et toujours croissante, résonne un grondement impie qui semble vouloir déchirer les murs et dévorer les rêves. À la fin des années 1990, La Maison des feuilles est un manuscrit étrange dont aucune maison d’édition ne veut. Certaines parties circulent pourtant déjà sur le net où elles créent un réel engouement. Finalement publié au début du nouveau millénaire, les succès s’enchaînent : nominé pour le Bram-Stoker Award du meilleur premier roman, lauréat du New York Public Library’s Young Lions Fiction Award, le roman devient instantanément culte et se vendra à plus d’un million d’exemplaires. Entre récit fantastique, livre énigme et mise en abyme typographique, ce roman captivant se confie comme un trésor de générations en générations. Aujourd’hui et pour la première fois, il est offert aux lecteurs français dans son Édition couleur remasterisée. Traduction de l’anglais (États-Unis) par Claro.
En rentrant chez eux un soir, les Navidson – Will, Karen et leurs deux enfants qui viennent à peine d’emménager en Virginie – découvrent qu’une nouvelle pièce a surgi dans leur maison… comme si elle avait toujours été là. Simple inattention ? Canular élaboré ? Mètres, plans et appareils de mesure sont réquisitionnés, et soudain l’explication la plus étrange devient la plus évidente : le foyer des Navidson est plus grand à l’intérieur qu’à l’extérieur. Très vite, d’autres changements surviennent ; un mur se décale, une nouvelle porte apparaît dans le salon et derrière elle un couloir étroit et obscur. Photoreporter de renom et aventurier intrépide, Will s’y risque un soir mais, manquant de se perdre dans ce qui s’avère être un dédale immense, décide de mettre sur pied une équipe d’explorateurs chevronnés, afin d’étudier ce passage qui paraît sans fin et qui, très vite, se révèle l’être pour de bon. Plongée dans le labyrinthe d’une maison impossible, ce roman tout en méandres cache un minotaure : au cœur de l’obscurité abyssale et toujours croissante, résonne un grondement impie qui semble vouloir déchirer les murs et dévorer les rêves. À la fin des années 1990, La Maison des feuilles est un manuscrit étrange dont aucune maison d’édition ne veut. Certaines parties circulent pourtant déjà sur le net où elles créent un réel engouement. Finalement publié au début du nouveau millénaire, les succès s’enchaînent : nominé pour le Bram-Stoker Award du meilleur premier roman, lauréat du New York Public Library’s Young Lions Fiction Award, le roman devient instantanément culte et se vendra à plus d’un million d’exemplaires. Entre récit fantastique, livre énigme et mise en abyme typographique, ce roman captivant se confie comme un trésor de générations en générations. Aujourd’hui et pour la première fois, il est offert aux lecteurs français dans son Édition couleur remasterisée. Traduction de l’anglais (États-Unis) par Claro.
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