Le-saviez-vous ? Il y a des sarcoptes à l'Elysée
Il y a quelques temps, un quotidien allemand (Bild Zeitung) nous révélait (puisque la presse française est déséspérément muette sur ce sujet) le train de vie de notre omniprésident en son palais de l'Elysée.
Nous apprenions ainsi, nous pauvres contribuables, que l'argent public (le nôtre, donc) servait à entretenir un train de vie princier au roitelet des français élu en mai 2007.
Le petit individu disposerait donc à lui tout seul et pour son seul service de 8 avions (2 Airbus et 6 Falcon-Jet, dont le dernier en date, baptisé "Carla"aurait coûté 60 millions d'euros. L'un de ces Falcon 7x aurait été équipé d'une machine à café d'une valeur de 25000 euros !!!).
Mais le service du prince ne s'arrête pas là, il dispose en effet de 61 voitures de fonction et aussi d'un millier d'employés attachés à son service, dont 44 chauffeurs et 87 cuisiniers.
Dans les 300 mètres carré de l'appartement de fonction présidentiel, les fleurs se doivent d'être fraîches. Coût annuel : 280000 euros.
Lorsque Nicolas-le-petit voyage à titre privé, un avion gouvernemental vide le suit au cas où il devrait rentrer d'urgence à Paris.
Mais c'est avec stupeur que j'ai appris aujourd'hui qu'une autre forme de parasite vivait au palais présidentiel. Son nom est d'ailleurs, ironie du sort, bien choisi, il s'agit (non ce n'est pas Jean Sarkozy) du sarcopte, acarien microscopique vecteur de la gale.
Trois sous-officiers de la Garde républicaine en poste à l'Elysée ont en effet contracté cette agréable infection.
Un courrier anonyme, dont l'AFP a reçu une copie, et émanant vraisemblablement de l'un de ces Gardes républicains fait état de la "vétusté des locaux"dans lesquels sont logés ces militaires.
"Les murs de plâtre tombent en lambeaux, les chaises que les gardes ont récupéré aux ordures de l'Elysée n'ont plus d'assises."
"Chaque jour, poursuit l'auteur de ce courrier, nous devons accomplir nos missions avec des moyens dérisoires, du matériel obsolète, hors d'usage, et ceci avec la peur de la sanction et aucune reconnaissance."
Les journalistes d'outre-Rhin, dans l'article précédemment cité, n'avaient pas hésité à qualifier notre président de "successeur du Roi-Soleil" et c'est à juste titre, car le palais de celui-ci, tel Versailles en son temps, cache sous les dorures, les réceptions fastueuses et les dépenses somptuaires une toute autre réalité où règne la crasse et une hygiène douteuse, conséquence d'une gestion catastrophique toute entière dédiée au service du seul monarque, de sa famille et de ses courtisans.
Nous apprenions ainsi, nous pauvres contribuables, que l'argent public (le nôtre, donc) servait à entretenir un train de vie princier au roitelet des français élu en mai 2007.
Le petit individu disposerait donc à lui tout seul et pour son seul service de 8 avions (2 Airbus et 6 Falcon-Jet, dont le dernier en date, baptisé "Carla"aurait coûté 60 millions d'euros. L'un de ces Falcon 7x aurait été équipé d'une machine à café d'une valeur de 25000 euros !!!).
Mais le service du prince ne s'arrête pas là, il dispose en effet de 61 voitures de fonction et aussi d'un millier d'employés attachés à son service, dont 44 chauffeurs et 87 cuisiniers.
Dans les 300 mètres carré de l'appartement de fonction présidentiel, les fleurs se doivent d'être fraîches. Coût annuel : 280000 euros.
Lorsque Nicolas-le-petit voyage à titre privé, un avion gouvernemental vide le suit au cas où il devrait rentrer d'urgence à Paris.
Mais c'est avec stupeur que j'ai appris aujourd'hui qu'une autre forme de parasite vivait au palais présidentiel. Son nom est d'ailleurs, ironie du sort, bien choisi, il s'agit (non ce n'est pas Jean Sarkozy) du sarcopte, acarien microscopique vecteur de la gale.
Trois sous-officiers de la Garde républicaine en poste à l'Elysée ont en effet contracté cette agréable infection.
Un courrier anonyme, dont l'AFP a reçu une copie, et émanant vraisemblablement de l'un de ces Gardes républicains fait état de la "vétusté des locaux"dans lesquels sont logés ces militaires.
"Les murs de plâtre tombent en lambeaux, les chaises que les gardes ont récupéré aux ordures de l'Elysée n'ont plus d'assises."
"Chaque jour, poursuit l'auteur de ce courrier, nous devons accomplir nos missions avec des moyens dérisoires, du matériel obsolète, hors d'usage, et ceci avec la peur de la sanction et aucune reconnaissance."
Les journalistes d'outre-Rhin, dans l'article précédemment cité, n'avaient pas hésité à qualifier notre président de "successeur du Roi-Soleil" et c'est à juste titre, car le palais de celui-ci, tel Versailles en son temps, cache sous les dorures, les réceptions fastueuses et les dépenses somptuaires une toute autre réalité où règne la crasse et une hygiène douteuse, conséquence d'une gestion catastrophique toute entière dédiée au service du seul monarque, de sa famille et de ses courtisans.
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